4 Octobre 2015
Titre : Red Hill
Auteur : Jamie McGuire
Edtions : J'ai Lu
Résumé :
Scarlet est divorcée et mère de deux petites filles. Les élever seule est un combat quotidien qu'elle mène avec ténacité.
Marié depuis plusieurs années à une femme de plus en plus distante, Nathan n'a qu'un vague souvenir de ce qu'est l'amour. En revanche, sa petite Zoe le comble de bonheur tous les jours.
Miranda, elle, n'a qu'une préoccupation : l'organisation d'un week-end à la campagne avec sa soeur Ashley et leurs copains respectifs.
Lorsque leur monde s'effondre, ces personnages ordinaires vont devoir affronter l'extraordinaire. Il leur faudra prendre en main leur destin pour avoir une chance de survie. Mais qu'arrive-t-il quand ceux pour qui vous êtes prêt à mourir sont aussi ceux qui peuvent vous détruire...?
Mon avis :
Moi qui avait un coup de coeur pour Beautiful Disaster, je n'avais qu'une idée en tête découvrir une autre histoire de Jamie McGuire.
Ici, c'est à l'opposé même de Beautiful Disaster. Ce n'est clairement pas la romance qui est centrale dans cette histoire. Pour le coup ça change énormément. Je n'ai pas vraiment "reconnu" le style de l'auteur, même si l'écriture était toujours aussi fluide.
Alors Red Hill, de quoi ça parle ? En quelques mots, nous suivons pas mal de personnages, qui du jour au lendemain tentent de fuir le virus qui pousse les gens, une fois atteint, a agresser, tuer, en les mordant. Ce sont clairement des zombies. L'univers est assez sombre et semble réaliste.
Comme je l'ai dit plus haut, nous suivons tout un tas de personnage. Et quelque part, je pense qu'il y en avait trop. Une mère, ses deux filles, un père et sa fille, deux autres ados avec leurs copains, des oncles, des tantes, bref, tout une ribambelle de personnages. Quelques parts, ça m'a vraiment paumée. A plusieurs reprises je me demandais, de quel point de vue on est là ? Je pense qu'au final, c'est l'un des éléments qui a fait que ma lecture ne m'a pas trop emballé.
Niveau intrigue, on est plutôt bien servis. Qui va réussir à retrouver sa famille, qui va survivre. Ce n'est que dans les dernières pages qu'on a le fin mot de l'histoire.
Malheureusement, je n'ai pas accroché à l'histoire. Je pense que c'est surtout lié aux personnages, le fait que je ne me sois ni attachée, ni identifiée à eux. Malgré tout, je n'ai pas pu classer ce roman dans la catégorie "Je n'ai pas apprécié" car il y avait de bons éléments.
En conclusion, je pense que ce style n'est pas vraiment pour moi, mais je pense que d'autres pourront l'apprécier !
Note : 5/10
Catégorie : Lu aussi
P. 12
Heureusement qu'on est vendredi.
Heureusement qu'on est vendredi.
Heureusement qu'on est vendredi.
Juste avant de couper le contact, j'entendis à la radio un nouveau compte rendu de l'épidémie frappant l'Europe. Avec le recul, tout le monde savait ce qui se passait, mais c'était resté si longtemps un sujet de plaisanterie que nul ne voulait plus croire que cela arrivait réellement. Entre les séries télés, les bandes dessinées, les livres et les films traitant de morts vivants, il n'y avait rien de surprenant à ce que quelqu'un soit à la fois assez brillant et dérangé pour essayer d'en faire une réalité.
Je sais que la fin du monde a eu lieu un vendredi. C'est la dernière fois que j'ai vu mes enfants
P. 296
- Plus depuis longtemps, et jamais comme je t'aime toi.